Je vous avais déjà confié mon intérêt pour les « glisses urbaines »1 – skateboard, roller, BMX, usw. -, dont la pratique cause parfois bien des soucis aux techniciens de la ville, architectes ou urbanistes (cf. Mexico : tes femmes sont ardentes, tes skateurs aussi).
Enfant, je me disais qu’un hiver enneigé représentait un répit furtif pour ces techniciens, las de voir escaliers, fontaines ou bancs publics malmenées par les grabs, flips et autres slides. Il faut croire qu’il n’en est rien, quand on voit les prouesses dont est capable ce Jeremy Jones.
En un mot : la ville ne peut définitivement pas échapper à sa fonction naturelle de terrain de jeu ! Si ce n’est le skate, ce sera donc son frère ;-)
Via Suchablog.
- Intérêt hérité de mon passage chez Chronos, btw. [↩]
OH YEAH !!!
Un intérêt de plus en commun alors :)
Un livre intéressant d’un ancien doctorant de mon labo :
Cultures urbaines et sportives « alternatives ». Socio-anthropologie de l’urbanité ludique
Florian Lebreton
Collection Espaces et temps du sport
Editions Harmattan (l’)
Juin 2010 – 230 pages
24.00 euros (format papier)
ISBN : 978-2-296-11249-0
http://www.revue-espaces.com/librairie/7764/cultures-urbaines-sportives-alternatives-socio-anthropologie-urbanite-ludique.html
Hey ! Perso je suis pas du tout adepte de la pratique du Snowboard en milieu urbain… pour moi c’est un sport qui se pratique dans les grands espaces à la fraiche au milieu des sapins et avec de la poudre jusqu’aux oreilles, et sans aucunes structures, rien d’autre que la nature :) Après c’est un avis personnel… :)