Les sirènes du jeu vidéo ramèneront-elles les jeunes générations vers la passion automobile ? Voici quelques liens pour prolonger la réflexion entamée dans mon précédent billet :
- Et si les constructeurs auto s’inspiraient du business model des jeux vidéo ? Intéressante analyse, à l’heure de la « voiture servicielle ».
- En conclusion de mon précédent billet, je me demandais à quoi pourrait ressembler un jeu de voiture qui prenne pour décor une ville apaisée. C’était peut-être l’intention de ce jeu promotionnel à la gloire de la Tata Nano, avec ses rues indiennes épurées dans lesquelles un piéton écrasé fait juste « Oops »… Le coup de gueule de Transit City.
- Toujours sur Transit City : « Peut-on penser la voiture sans les jeux vidéo ? » Etudes des cas Peugeot, Nike et Nissan. Essentiel.
- Pour se détendre, un vrai spot de pub pour une hypothétique voiture électrique… imaginée dans GTA ! (encore sur Transit City)
- Enfin, la vidéo qui résume tout. Dans cette campagne « Volkswagen 2028 », un père raconte à son fils, hologramme à l’appui, la mobilité du « passé » (les voitures en 2008). Ou quand l‘auto virtualisée devient le médium du transfert générationnel.
Une grande partie de ces liens découle de la lecture de « Papa Maman Citroën », thèse professionnelle de Didier Rols (2006), sur le jouet comme médium de l’attachement à la marque. Où l’on apprend que l’idée de séduire les jeunes par le jeu ne date vraiment pas d’hier… A lire !