Les “bricolages urbains”, comme les a baptisé Emile Hooge dans la revue M3, se définissent d’abord par un changement de posture de leur concepteurs. “Ce sont les œuvres d’amateurs qui ont abandonné leur posture d’usagers consommant la ville, pour devenir des bricoleurs urbains fabriquant leur propre environnement, celui dont ils ont besoin ou envie.” Une application à la ville des principes “fais-le toi même” du fameux DIY, Do It Yourself.
Les nombreux exemples qu’il a recueilli sur son tumblr dédié traduisent à merveille cet “amateurisme éclairé” : les bricolages urbains viennent se greffer à l’existant – mobilier, arbres, quais de métro, façades et même poubelles, etc. – pour enrichir les fonctions traditionnelles de la ville d’une nouvelle couche de services.
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