Que la publicité envahisse l’espace public n’a rien de vraiment nouveau. Mais les temps changent, lentement mais sûrement, et la publicité se trouve aujourd’hui de nouvelles terres vierges à coloniser. L’évolution est somme toute assez logique: le rejet croissant de la publicité (dont les anti-pubs sont la forme la plus visible) oblige cette dernière à trouver des parades.
Le simple affichage ne suffit plus: l’heure est à l’hybridation, dans la forme autant que dans le fond, entre les marques et la «fabrique» de la ville. Autrement dit: les marques s’autoproclament acteurs urbains à part entière, sous différentes formes.
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