Les city builders, ces jeux vidéo de simulation de ville à la Sim City, ont le vent en poupe depuis une trentaine d’années… tant auprès des joueurs que des professionnels de l’urbain. Parce qu’ils constituent d’excellents simulateurs de construction et de gestion d’une cité, à la fois complexes et amusants, on ne s’étonnera pas qu’urbanistes et prospectivistes s’y intéressent de plus en plus.
Sim City Las Palmas, par Yeray David Rodríguez Dominguez
Sources d’inspirations inépuisables, ces jeux vidéo “presque sérieux” peuvent-ils toutefois concrètement servir les intérêts des constructeurs et penseurs de la ville ? L’essor du “serious gaming” dans de nombreux secteurs économiques – y compris dans l’urbanisme – conduit en effet à s’interroger sur la porosité qu’il pourrait y avoir entre ces deux univers urbains, virtuels et réels. Cela n’est toutefois pas sans soulever d’autres questions : de nombreux spécialistes de l’urbain pointent ainsi les limites de ce type d’analogies. D’où notre discussion du jour : jusqu’à quel point peut-on s’inspirer des city builders ?
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