Quand on aime, on ne compte pas…
« Je keur ma ville », Bruxelles, septembre 2011… et on le dit, haut et fort ! avec des fleurs si besoin, pour mieux imprimer le message. Le coeur a ses raisons que la ville ne peut ignorer.
« En bas de chez moi », Paris 20e, mars 2011, par Klio Krajewska
Mais quand on n’aime pas, alors là..! On le crie, on le clame, quitte à en perdre son latin, voire même son français ?
via Guillemette Faure et Philippe H.Amis élus, n’avez-vous donc pas retenu la leçon ? « Dé-gouvernance est mère de tous les maux » ! Et comme en amour, ce sont les détails qui font la différence…
via Me raconte pas ta vie dans le JHM (mon tumblr préféré)–