Stupeur !
Moralité : n’en déplaise aux hérauts du spectaculaire voire de la poudre aux yeux (auxquels je cède souvent mes faveurs, mea culpa), le ré-enchantement des villes tient finalement à peu de choses.
Une simple variation du décor permet – à son échelle – d’ambiancer le quotidien en redonnant aux citadins le plaisir de s’en étonner. C’est aussi ça, l’utopisation de l’ordinaire !
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Et sur ces belles paroles, je vous abandonne. Oh, quelques jours à peine, rien de bien méchant ! Retour prévu fin août – début septembre avec, au programme :
- une tribune sur la dilution du numérique dans l’architecture (et inversement, de l’architecture dans le numérique)
- le second épisode de la série DÉCORS qui sera cette fois consacré aux paysages urbains de ma série préférée : Friday Night Lights. Avant-goût universitaire à découvrir ici : « Le huis clos ou l’exaltation du localisme communautaire dans les séries américaines ». Le troisième épisode suivra derrière et s’intéressera à la gouvernance urbaine de Pawnee, Indiana.
- un texte sur… les pop-ups urbains. Tout simplement ! Depuis le temps qu’il traîne dans les cartons…
- et bien d’autres sur l’imaginaire des folksotopies, le temps de l’instant, etc.
Je vous laisse patienter en vous redirigeant vers l’excellentissime me raconte pas ta vie dans le JHM (aka le Journal de la Haute-Marne) où j’ai déniché les photos de ce billet (via la revue du web des Inrocks)…
Parfois, l’ambiancement du quotidien demande quand même quelques efforts supplémentaires. HUM.